1
’égalité pour tous ! Être laïque, c’est vouloir l’
instruction
libre et gratuite pour tous, sans distinction de fortune ou de religi
2
crois que vous êtes encore trop compliqué pour ce
public
. Il me semble qu’on pourrait leur parler plus directement, les interp
3
jection. Pour assurer le fameux « contact avec le
public
», rien ne vaut cette proximité physique. Je leur parlai pendant deux
4
nds par Versailles, par la défaite, par la misère
publique
. Voilà bien la blessure la déception non plus ressentie par un indivi
5
iste, anticapitaliste mais antiétatique. Le grand
public
nous ignorait. Nous formions ce qu’on appelle avec un peu de pitié de
6
unité, dans le plan de la culture et de la morale
publique
, de même que seule une Autorité politique supranationale sera capable
7
liturgie non plus puisqu’il n’existe pas de culte
public
, ni même de rites communautaires ; à part les processions et fêtes pé
8
de ce siècle sur les nominations dans la fonction
publique
, et nul autre parti ne l’a remplacé ; peu ou point de grandes fortune
9
que « Budget de ménages », je trouve ce poste : «
Instruction
, distraction. » C’est « Culture et loisirs » en France, la nuance est
10
nséquences qu’on a vues dans le domaine de la vie
publique
: tout se ligue instantanément contre celui qui ferait mine de dépass
11
rt s’épanouisse, il faut un milieu, une école, un
public
alerté, un snobisme, les libéralités d’un mécène ou d’une cour. C’est
12
es ou religieux, négociateurs de grandes affaires
publiques
à l’échelle de l’Europe et du monde, théologiens ou pédagogues, savan
13
ation d’un chef du service juridique au Ministère
public
, recueillie par Franck Jotterand au cours d’une enquête sur la censur
14
es relations humaines dans la cité, des relations
publiques
en général. C’est ce qu’avait bien vu le regretté Pierre Duclos, lors